Des créations aux univers pluriels choisies pour leur qualité et leur originalité
Des expositions régulières
La galeriste
Pontissalienne d’origine, Delphine LONCHAMPT UNG
suit à Paris des études de marché de l'art et d'histoire de l'art jusqu’au master, avec un passage à l’University College de Londres. Elle suit en parallèle des cours du soir à l’Ecole du Louvre.
L'étude d'un collectionneur majeur du XIXe siècle occupe ses dernières années académiques, travail de recherche pour lequel elle est citée dans plusieurs ouvrages (Monographie de Jean-Baptiste Perronneau, Catalogue d’exposition Sorolla...) et qui lui a permis de rencontrer le président-directeur honoraire du musée du Louvre, Pierre Rosenberg.
Travaillant pour des galeries et antiquaires des quartiers Saint Germain des Prés et Carré Rive Gauche, elle aborde des sujets aussi variés que l'art du moyen-âge, de la renaissance, que l’art contemporain.
Entre autres travaux, elle a participé à :
L’expertise d’une sculpture romane acquise par le musée du Louvre
L’authentification d’une peinture du Douanier Rousseau
Lancement de la première Art-Car de l’artiste Peter Klasen, pilier du mouvement de la figuration narrative
L’inventaire du leg Jean Gigoux au musée des Beaux-Arts de Besançon
La redécouverte d’une technique de vitrail des années 50 (le gemmail)
La participation à la foire Art Paris au Grand Palais
L’organisation de ventes aux enchères avec la SVV Millon de Paris
Entre autres travaux, elle a participé à :
L’expertise d’une sculpture romane acquise par le musée du Louvre
L’authentification d’une peinture du Douanier Rousseau
Lancement de la première Art-Car de l’artiste Peter Klasen, pilier du mouvement de la figuration narrative
L’inventaire du leg Jean Gigoux au musée des Beaux-Arts de Besançon
La redécouverte d’une technique de vitrail des années 50 (le gemmail)
La participation à la foire Art Paris au Grand Palais
L’organisation de ventes aux enchères avec la SVV Millon de Paris
Avez-vous déjà ressenti le syndrome de Stendhal ?
Cet état dans lequel un trop plein de beauté peut vous couper le souffle, vous faire perdre l'équilibre ou même vous faire pleurer.
C'est arrivé à Stendhal, en voyage à Florence en 1817. C'est arrivé aussi à de nombreux touristes en visite dans la ville. Ces étonnants cas médicaux sont rassemblés sous le nom de Syndrome de Stendhal.
Quand le syndrome de Stendhal vous attrape, il n'existe plus ni temps, ni espace, mais un émoi vertigineux.
Quand le syndrome de Stendhal vous attrape, il n'existe plus ni temps, ni espace, mais un émoi vertigineux.
Stendhal:
Rome, Naples et Florence
"...J’étais arrivé à ce point d’émotion où se rencontrent les sensations célestes données par les beaux-arts et les sentiments passionnés. En sortant de Santa Croce, j’avais un battement de cœur, ce qu’on appelle des nerfs, à Berlin; la vie était épuisée chez moi, je marchais avec la crainte de tomber..."